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NADJOU Blog y boulga

19 février 2015

DANSE AVEC MOI

Je veux danser.

Danser pour exister. Danser pour m'extasier. Danser pour séduire. Danser pour vivre.

J'ai toujours aimé danser, depuis toute petite. Je me rappelle des bals populaires pendant les vacances où chaque année nous nous rendions avec mes parents. J'adorais danser les « bourrées » avec mon père, ces danses où tout le monde fait la même chorégraphie, une sorte de country paysanne de nos régions françaises lol. La danse est fédératrice, un de mes meilleurs souvenirs restera un 14 juillet passé en famille avec des membres qui ne s'étaient pas vus depuis longtemps, voir qui étaient en froid, et où tout le monde dansait ensemble sans exception, chaque personne, l'espace d'une soirée, oubliait ses griefs envers l'autre et se réconciliait au rythme d'un rock endiablé...

Je suis de nature réservée, j'ai du mal à communiquer, à m'intégrer au sein d'un groupe. Je n'ai pas confiance en moi et je crains le regard des autres. Mais paradoxalement, quand je danse, tout ça s'évanouit et je suis désinhibée de ces carcans sociaux. Si tous les facteurs sont réunis, un déclic se produit en moi et je danse, danse, danse, presque comme en transe parfois, rien d'autre ne compte à part la musique et mon corps. J'éprouve un réel sentiment de liberté, je vis le moment présent à fond, sans complexes. C'est le seul moment ou j'aime et j'assume qu'on me regarde, une sorte de narcissisme s'empare de moi et je veux qu'on me trouve belle, je veux plaire.

Mais bien évidemment, le déclic dont je parle ne se produit pas à tous les coups, cette expérience se compte sur les doigts d'une main et je vous épargnerai le récit de toutes ces soirées où je dansais avec un balai dans le cul à côté du buffet en grignotant des cochonneries pour me donner une contenance...

Alors à quand la prochaine danse ? Celle qui vous fait oublier qui vous êtes et qui vous fait devenir qui vous voulez, celle qui vous fait vibrer...

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11 novembre 2011

N'est plus "Intouchables" celui qui va voir ce film

 

 

Je suis allée voir ce film la semaine dernière et il faut dire que je n’étais pas emballée du tout, même après avoir entendu d’excellentes critiques à son sujet. Au ciné, j’aime plutôt voir des films d’action où ça explose à gogo, où les têtes sont décapitées à tour de bras ou alors des films d’horreur pour pouvoir écraser à loisirs le bras musclé de mon fidèle accompagnateur. Alors un film comme Intouchables, qui sent les clichés à plein nez et la bonne conscience à 2 balles genre « résolutions du nouvel an », peu pour moi. Mais étant donné que j’avais perdu à pierre/feuille/ciseaux contre mon fidèle accompagnateur, il a eu le droit de choisir le film qu’il voulait, et ce fût Intouchables.

Alors, alors, nous voici confortablement installés, le film commence avec une scène qui met en scène une belle voiture lancée à toute vitesse et un beau black au volant, je me serai presque cru dans un de mes films d’action….en omettant  François Cluzet sur le siège passager avec une grosse bave dégueulasse sur le menton ;)

Boooooon, je rigole mais j’ai beaucoup apprécié le film. Certes, les clichés sont là mais on les oublie grâce aux dialogues bourrés d’humour. Il n’y a pas 5 min sans une bonne blague ou une scène marrante. L’autodérision est là aussi et est même très importante pour le personnage de François Cluzet, ça lui fait du bien de rire de lui-même alors que son état devrait nous faire pleurer. Est- ce qu’on peut rire de tout ? Oui, ça peut même être une thérapie.

On efface complètement le côté glauque de l’handicap pour presque le faire oublier et attirer l’attention sur des valeurs nobles telles que la confiance et l’amitié.

 Bref, rien de telle qu’une franche rigolade pour faire face aux problèmes ! 

27 septembre 2011

Quand Provence rime avec vacances...

Les vacances sont finies, mais les souvenirs restent ! Il est de plus en plus facile de prendre des photos grâce au numérique, mais paradoxalement, on en profite moins car la plupart du temps elles restent dans les cartes mémoires ou dans le disque dur de l’ordinateur ! On ne prend plus le temps de les faire développer et de les mettre dans de beaux albums. Quel est le rapport avec la Provence ? A travers cet article, j’ai envie de faire vivre les jolis clichés que j’ai pris et qui je l’espère susciteront de l’émerveillement et de l’intérêt pour cette magnifique région.

 

Le 3 septembre 2011, après 10h de route, nous voici arrivés à St Aygulf dans une maison séparée en deux logements autonomes, le nôtre occupant tout le rez de chaussée. La maison est très bien située, à 100m de la mer et à 15min à pied des commerces et du marché. Il fait beau, il y a des palmiers, les cigales chantent…les vacances peuvent commencer !

Nous commençons la visite de la région par le vif du sujet : St-Tropez. Armée de mes sandales style « tropéziennes» et d’un foulard noué sur ma tête genre gypsy chic et choc, me voici parée pour affronter les bourges de la côte varoise. Bien sur, mon pauvre accoutrement ne faisait pas le poids face aux naïades anorexiques échouées sur les yachts amarrés sur le port faisant mine de lire tranquillement un magasine sur le pont alors qu’elles sont constamment observées par un attroupement de badauds ruminants leur pauvre sort. Ayant fait constat de ceci, nous préférons nous éloigner du port pour nous diriger vers la citadelle. Après avoir passé les rues commerçantes bourrées de boutiques de luxe hors de prix, nous nous enfonçons dans les ruelles et là, ça vaut le déplacement. Le charme des rues piétonnes pavées et étroites, les maisons fleuries de bougainvilliers et ornée de plantes grimpantes ainsi que les ravissantes placettes ombragées sont le réel intérêt de ce village avec, sûrement, le musée de l’annonciade que nous n’avons pu visiter.

 

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Après un pique nique des plus frugal, nous continuons vers Ramatuelle, un village perché dans les hauteurs de l’arrière pays. Magnifique village où il fait bon se promener dans les ruelles escarpées verdoyantes et fleuries et où notre ouïe est agréablement titillée par le son de l’eau qui coule dans les multiples fontaines rafraichissantes. Cette première journée de visite s’achève donc avec un sentiment de dépaysement (les rues piétonnes et pavées me font cet effet,  j’ai l’impression d’être dans un autre espace temps) et une faim de loup !

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Par la suite, nous avons découvert d’autres villages perchés de l’arrière pays, que je vous laisse admirer ici :

 

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Aujourd’hui, nous prenons le bateau pour aller visiter l’île de Porquerolles, à 2h30 de navigation. L’île est assez sauvage, il y a très peu d’habitations en dehors du centre-village (site classé). Nous avons 4h d’escale avant de repartir et nous décidons de découvrir l’île à pieds (même si je pense que ça doit être mieux à vélo). Nous empruntons des chemins escarmouchés où nous admirons et humons la végétation méditerranéenne. Une fois arrivés au Phare de l’île, nous profitons d’un magnifique point de vue sur la mer et ses falaises déchiquetées. Il fait chaud et nous décidons d’aller nous baigner avant de reprendre le bateau. L’eau est transparente et chaude, c’est le rêve !

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Je finis là-dessus en espérant que vous aurez l’occasion d’aller faire un tour dans cette région, en tout cas, j’y retournerai, c’est sûr !

1 juin 2011

Week-end Wonderbox

De retour après un petit moment d’absence grâce à la seule fan de mon blog qui me réclame ! Je vous parle donc aujourd’hui d’un endroit magnifique que j’ai eu la chance de découvrir en amoureux grâce à un coffret cadeau. Il s’agit du château de Bertichères situé à Chaumont en Vexin dans l’Oise, ancienne résidence du frère de Louis XIV.

Alors ok, ce n’est pas très exotique comme destination mais cela permet de renouer avec la nature et de faire le plein d’air pur, pour seulement 1h30 de trajet.

 

Dès l’arrivée, nous entrons dans le vif du sujet puisque nous empruntons une large allée bordée de gigantesques arbres sûrement centenaires ; normal pour un château diront les gens de bonne famille, mais les petits prolétaires que nous sommes sont déjà épatés.

La découverte continue avec le centre équestre appartenant au château puis nous arrivons enfin à l’accueil. Notre chambre n’étant pas encore prête, nous nous installons dans le jardin où des petites tentes abritant de jolies chaises confortables en résine tressée avaient hâte d’accueillir nos popotins. Nous admirons la vue imprenable sur le château puis nous nous promenons dans le parc où nous faisons la connaissance de deux gentils poneys et d’un âne. Nous décidons ensuite de profiter de l’un des deux courts de tennis puisque nous avions apporté des raquettes et des balles pour l’occasion. Expérience d’assez courte durée car je ne joue pas au tennis et je ne suis pas très sportive ! C’est pour cela que j’ai décidé de prendre ma revanche à la pétanque car il y avait aussi un boulodrome ! Avec ma triplette, rien ne m’arrête ! (Oui je sais, un vrai couple de beauf qui joue à la pétanque).

Après toutes ces activités physiques épuisantes ;), nous montons dans notre chambre qui est assez petite mais confortable et coquette. Le temps de s’installer et c’est déjà l’heure de manger, nous descendons donc nous asseoir à une table sur la terrasse surplombant le jardin et le petit lac. Le dîner était simple mais bon (j’étais quand même un peu déçue par rapport au menu type annoncé dans le coffret).

 

Voilà donc un joli week end passé dans ce château qui nous a bien fait décompressé et pensé à autre chose !

 

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20 février 2011

L'Hydrophobe

Ceux et celles qui me connaissent savent à quel point je suis une gourmande vorace invétérée, alors je me devais de poster un sujet sur notre bonne cuisine française. A défaut d’être moi-même un cordon-bleu digne de ce nom, je tiens à parler d’un restaurant que j’aime particulièrement et par la même occasion, à rendre hommage à son chef, M. Patrick Fray.

 

Le restaurant l’Hydrophobe est situé entre la Place d’Italie et Denfert Rochereau, métros « Les Gobelins » ou « Glacière », dans le 13e, et limitrophe de trois arrondissements : 5e, 6e et 14e. C'est un restaurant que j'affectionne beaucoup car on y fête régulièrement des anniversaires ou des moments particuliers en famille, on s'y sent un peu comme chez nous, notamment grâce à l'accueil chaleureux de Patrick.

Vous serez d’abord séduits par la décoration élégante et soignée, dans les tons blanc, gris et prune et vous pourrez admirer le beau bar en bois patiné ainsi que des tableaux d’artistes exposés sur les murs du restaurant.

 

Cette belle harmonie continue évidemment dans l’assiette (et dans les verres !), puisque le chef propose des plats traditionnels revisités par ses soins, des mélanges de saveurs originales et inattendues sans cesse renouvelées au gré des arrivages de produits de saison et de qualité; tout ça pour un prix très correct. Ajoutez à cela les excellents vins toujours conseillés personnellement par le chef (avec beaucoup de choix de vins au verre) ainsi qu’un service soigné et attentionné et vous passerez un moment privilégié.

 

Pour vous donner l’eau à la bouche, voici quelques plats proposés (mais je ne sais pas s’ils y sont actuellement, comme la carte est souvent renouvelée) :

 - Feuillantine de ris d’agneau braisés aux légumes confits

 - Raviole de langoustine au chou et sésame

 - Sauté de sanglier à la bière et pain d’épices

 - Filet de rascasse aux olives et ail confit

 - Financier au cassis avec sorbet

Allez vite vous délectez à L’Hydrophobe, vous ne le regretterez pas et vous n’aurez qu’une envie : y retourner et faire découvrir cet endroit aux gens que vous aimez.

L'Hydrophobe
53 Bis Boulevard Arago
75013 Paris
01 45 35 53 42

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Crédits photos : idealgourmet.fr

 

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17 février 2011

BLACK SWAN

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Ça y est, je l’ai vu ! J’attendais sa sortie depuis qu’on en avait parlé au festival de Venise en septembre. Alors, verdict ? Et bien, j’ai beaucoup apprécié ! Je ne vais pas vous raconter l’histoire, on nous la rabâche assez dans les médias comme ça, mais j’aimerais aborder les deux aspects principaux du film, la danse et la folie.

 

L’univers classique (danse, ballets, musique) n’a jamais été mon fort. Je suis allée voir une fois à l’opéra « casse-noisettes » et je dois dire que ce ballet porte bien son nom… Mais ce film m’a réconcilié avec la danse classique, j’ai été totalement envoutée par la beauté et la grâce de Nathalie Portman. Pendant qu’elle dansait, les plans rapprochés me donnaient l’impression de faire corps avec l’actrice, de ne faire plus qu’un avec elle et de ressentir par la même occasion toute l’émotion qui émanait de son personnage.

 

Le second sujet dont je voudrais parler est la folie de Nina.  J’ai toujours été attirée par les pathologies psychiatriques sans pour autant plancher sur le sujet. Je trouve que ce film nous fait bien comprendre la maladie (nous qui ne souffrons – pas encore - de ce trouble) et ce que peut éprouver une personne atteinte de ce mal. On ressent la perte de contact avec la réalité, le fait que l’univers qu’elle s’imagine devient peu à peu son quotidien et on note la progression de la maladie, jusqu’à son paroxysme tragique.

Dans le cas de ce personnage, je ne pense pas que la pression du rôle soit la cause de sa névrose mais plutôt le déclencheur. En effet, on voit bien qu’il y a un problème avec la relation mère – fille (une mère qui s’identifie à sa fille et qui la fait culpabiliser de ne pas avoir pu faire carrière dans le ballet) mais il y a également un rapport spécial à la sexualité.

 

Bref,  je ne vais pas faire la psy à deux balles car je n’y connais rien mais je vous conseille vivement d’aller voir ce film !


7 février 2011

Meetic, le site où j'ai meet sans "hic"

 

Aaaah, les sites de rencontres… Ca marche ou ça ne marche pas ? Telle est la question…Je vais essayer d’y répondre en vous contant mon expérience Meetic.

 

Tout commença un jour où, juste après une séparation, je me décidai à m’inscrire sur ce site. D’un naturel plutôt timide et peu sociable, cela me semblait être la meilleure solution pour rencontrer quelqu’un car j’ai plus de facilités à m’exprimer par écrit et le fait de rester dans un certain anonymat m’aide à me désinhiber et à être moi-même.

 

Après avoir choisi la moins moche de mes photos et rempli un questionnaire digne du commissaire Moulin précisant ma recherche et décrivant mon physique et ma personnalité, me voici lancée dans la cage aux lions. Telle fût ma première impression, celle d’être un bout de viande disputé par des dizaines de fauves. A peine connectée que je reçus des messages instantanés incessants peu intéressants et bourrés de fautes d’orthographe. Ca commence bien, allez-vous dire, mais j’ai quand même pu choisir deux ou trois profils qui m’ont un tantinet titillée. De la messagerie instantanée du site on passe donc à MSN et je discute durant plusieurs jours avec deux jeunes hommes en particulier.

 

Ensuite vient le fameux 1er rendez-vous en chair et en os. Comment être sûre de ne pas tomber sur un malade ? On ne peut jamais l’être à 100%. Alors j’ai choisi un lieu bondé de monde (un resto dans Disney village) histoire de pouvoir crier « au viol » à bon entendeur en cas de nécessité ;) Dans un premier temps un peu déçue par le physique (dents pourries et petite taille) je me consolais avec le fait qu’il avait quand même de la conversation et il réussît à me mettre à l’aise. J’ai quand même eu droit à une phrase devenue mythique pour moi, (meetic autrement dit) à savoir : « tu as un très joli visage, en plus tu n’as pas de rides », j'ai envie de dire que c'est un peu normal à 24 ans...Bref, après le resto, nous avons continué dans un pub pour boire un verre et  … comment dire ? Ce fût la cata après. Je ne sais pas si c’est le fait que c’était un asiatique et qu’à ce qu’il parait un asiatique supporte moins bien l’alcool, mais c’est parti en live. En effet, après le pub, petite promenade digestive autour du lac vers les hôtels Disney quand le jeune homme me fît limite sa déclaration, en me disant que j’étais celle qui lui fallait, qu’on serait heureux ensemble et blablabla. De mon côté, trop gentille et un peu perdue, je n’osais lui dire que c’en était trop pour moi et il m’a donc raccompagnée en m’invitant dans la semaine dans un autre restaurant. Inutile de vous dire que ce fût sans suite. 

 

Alors rebelote sur Meetic où je rencontre en vrai un deuxième jeune homme dans un autre restaurant. Déçue de nouveau physiquement (encore les dents d’ailleurs, entre autres). Mais cette fois, aucune discussion à table, que de la gêne et des sourires crispés avec de la salade entre les dents. Alors, que font deux timides mal à l’aise pendant un repas ? Ba rien. C’est même moi qui prenait les devants en lançant quelques sujets de conversation mais qui tombèrent à plat à chaque fois. Et non, ce n’était pas encore le bon.

 

Donc je me retrouvai toujours seule et un peu déçue mais l’espoir renaquît très vite car j’avais de nouveau un autre rendez-vous !  Et puis il faut dire que mes aventures étaient suivies par mes collègues comme des épisodes des « Feux de l’amour », mais en plus foireux…

 

Le troisième rendez-vous…inoubliable ! Accueillie par un beau jeune homme en costume classe, très chaleureux et sûr de lui, tout ce qu’il faut pour bien commencer ! Pendant le repas, nous n’avons pas arrêté de discuter de tout et de rien, je le sentais très à l’écoute et à la fin du dîner, nous avions l’impression de nous connaitre depuis déjà quelque temps. Ajoutez à cela une balade romantique au clair de lune et emballez, c’est pesé ! (au sens propre comme au sens figuré hihi !) Et oui, limite le coup de foudre, le cœur qui s’emballe et la déception de se quitter…pour mieux se retrouver puisqu’il partage toujours ma vie !

 

 

Alors pour conclure, je ne regrette en aucun cas de m’être inscrite sur ce site et j’encourage les récalcitrant(e)s à le faire !

 

1 février 2011

Pure finish fond de teint poudre Elisabeth Arden

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Suite aux recommandations de ma meilleure amie, j'utilise depuis maintenant quelques mois ce fond de teint et je voudrais en parler car j'en suis assez satisfaite (même si je fais quelques infidélités à M.A.C.)

 

Il s'agit d'une poudre minérale, aux pigments très concentrés donc peu de produit suffit pour un résultat optimal. Il est très simple d'utilisation, il faut tourner le boitier, ce qui a pour effet de rapper quelques grammes de poudre qu'il suffit d'appliquer à l'aide de la houppette fournie ou avec un gros pinceau pour un effet plus estompé.

 

Alors pourquoi ce produit me convient-il plus que mon fond de teint habituel M.A.C. Studio Fix ? Car je le trouve plus adapté à ma peau grasse qui devient très vite brillante, et avec ce fond de teint, elle brille beaucoup moins ! De plus j'ai choisi une teinte un peu plus foncée que ma couleur cadavérique naturelle pour un effet bonne mine non négligeable !

 

Seuls bémols : je ne le trouve que chez Nocibé au prix assez conséquent de 32€, mais sa durée est assez longue puisqu'on l'applique en petite quantité.

29 janvier 2011

Usher - OMG Tour - Bercy 24.01.2011

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Et oui, j'y étais ! Plus dans le but d'accompagner un grand fan, mais j'y étais quand même...dans la fosse de surcroît...Alors que je me souviens de ma dernière fosse à Bercy, au concert de Kanye West, entourée de rappeurs géants, la priorité étant de survivre plutôt que de suivre le concert, puisque de toute façon je ne voyais de la scène que la lumière des projecteurs (merci les écrans géants), donc ayant réussi à sortir indemne de cette épreuve, je m'étais dit "plus jamais la fosse"...Mais vous connaissez le vieil adage "ne jamais dire jamais" et le 24 janvier, bibi s'y recolle.

Alors autant dire que j'appréhendais un peu cette sortie mais finalement, j'ai réussi à me glisser derrière des petites minettes que je dépassais et j'ai pu garder un espace vital d'environ 1m² ce qui est un luxe.
J'aimerais juste ouvrir une parenthèse sur une petite réflexion que je me faisais : plus on appréhende un moment particulier, plus celui-ci se passe au mieux alors qu'à l'inverse, plus on pense que quelque chose se passera bien et plus c'est la cata ! Alors est-ce pour nous punir d'oser prédire un futur proche et nous rappeler qu'on n'échappera pas à notre destinée ? Mais là je m'égare complètement alors revenons-en à nos moutons, car Usher veille au grain.

La première partie commence, il s'agit de Tinie Tempah (je qualifierais sa musique de Hip-Hop ludique), inconnu au bataillon pour ma part mais effectivement, quand ce jeune homme a commencé son show, j'ai reconnu quelques hits, d'ailleurs tout le monde se disait "ah, c'est lui ça !". Alors c'était plutôt pas mal comme mise en bouche, oserais-je dire que j'ai même préféré cette première partie au concert d'Usher ? Presque, malheureusement, en tout cas je suis déçue que ça n'ait pas duré plus longtemps.   

Après un petit moment d'attente, la star arrive enfin, costume façon super héros, chaine en or qui brille, feux d'artifices, danseuses sexys qui te font complexer à mort pendant tout le concert, tout ceci ponctué par  un Usher hyper narcissique qui n'hésite pas à faire tomber la chemise (ou plutôt à la déchirer sauvagement) afin de nous exposer sa musculature, enfin bref, le super show à l'américaine quoi !

Alors d'accord les chorégraphies sont sympas, Usher bouge comme un Dieu et a une voix d'ange, mais bon, je pense que j'ai passé l'âge de tout ça et j'ai été un peu déçue du choix des chansons. Beaucoup trop de chanson "slow" de ses anciens albums alors que son nouvel album est plus tourné vers la pop. On a quand même eu le droit à OMG, mais c'était la dernière et je dois dire que ma ferveur du début n'était plus au rendez-vous après m'être tapée 4 chansons coup sur coup de super lover transi.

Donc bilan mitigé, mais cela m'a fait au moins prendre conscience que je préférais les concerts dans de plus petites salles, plus chaleureuses et moins impersonnelles que Bercy, où il y a un vrai échange entre l'artiste et le public. 

27 janvier 2011

Special-t by Nadjou

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Je vais vous conter mon expérience special-t, expérience renouvelée quotidiennement depuis le 25 décembre (cadeau de papa Noel, les plus perspicaces d'entre vous l'aurez compris).
Le 25 décembre, quelle ne fût pas ma surprise en découvrant la machine special-t (après avoir bien sûr répété depuis septembre, mais méthodiquement pour qu'on me l'offre pour Noel, que j'étais TRES intéressée par ce produit).
Donc déjà le packaging : très joli coffret de présentation comprenant la machine, deux tasses avec sous-tasses assorties et 40 capsules (10 sortes de thé différentes).
Alors, nous voilà bien avancés en sachant tout ça, me direz-vous, mais ai-je atteint le Nirvana ? Est-ce que je suis arrivée jusqu'aux cimes de l'Himalaya ? Tout d'abord je tiens à mettre l'accent sur le fait que la machine est équipée d'un filtre à eau, donc moins de calcaire et de cochonneries (important pour les alpinistes) et donc moins de risques pour la machine de s'encrasser et surtout la qualité du thé est sensée être améliorée.
Bref, j'adooooooore prendre mon thé chaque soir, je n'ai goûté que 10 sortes sur 25, sur les 10, il y en a deux qui ont un goût de pipi de chat ou d'algues mazoutées mais les autres sont délicieux. C'est un vrai plaisir de se préparer un thé avec cette machine, premièrement c'est très simple et très rapide (pas de temps d'infusion, pas besoin de galérer avec le thé resté collé dans la passoire pour ceux qui le préparent à l'ancienne) et en plus cela dégage une odeur agréable pour notre petit nez (ou gros pour d'autres) qui est exposé toute la journée à des senteurs nauséabondes et des agressions olfactives multiples (notamment les pets répétitifs de mon compagnon).

En une phrase, je suis comblée par cette machine, même si le prix des capsules n'est quand même pas donné (0.35€), mais mon côté crevard sera rassuré par le fait qu'avec une capsule on peut faire 2 tasses de thé...

Special-t, sans modération !!

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